Au départ, Le Clan Spinoza comportait un prologue et un épilogue devant mettre en scène les choix qui ont déterminé l’écriture du livre. Il nous a finalement semblé que les lecteurs apprécieraient des explications plus simples, plus claires. Mais parce que la comparaison avec la version finale de ces textes contribue à montrer comment le sérieux universitaire et la fantaisie littéraire peuvent être traduits l’un dans la langue de l’autre, nous publions ici ces brouillons étranges, qui mettaient en scène l’auteur afin de replier l’univers du livre sur la recherche contemporaine ainsi qu’une présentation par M. Rovere de son premier travail sur Spinoza.
Un lien brisé, un bug, un avis sur le site, une nouvelle référence ? Laissez vos commentaires et vos remarques ci-dessous.
Dans sa première version, « Le Clan Spinoza » comportait un prologue et un épilogue où un narrateur se mettait en scène, décrivant ses surprises dans un monde un peu magique, chargé de références. Ces textes ont été supprimés du livre, parce qu’ils nous ont semblé compliquer inutilement la lecture à des moments clés. Mais parce qu’ils […]
Dans sa première version, « Le Clan Spinoza » comportait un prologue et un épilogue où un narrateur se mettait en scène, décrivant ses surprises dans un monde un peu magique, chargé de références. Ces textes ont été supprimés du livre, parce qu’ils nous ont semblé compliquer inutilement la lecture à des moments clés. Mais parce qu’ils […]
Le Spinoza de Maxime Rovere ne ressemble pas aux autres. On y retrouve difficilement les repères proposés par les grands commentateurs français de Spinoza – ceux qu’ont mis en place Martial Gueroult, Alexandre Matheron ou même Gilles Deleuze. « La lecture de Rovere, observait Pierre-François Moreau en 2006, est hétérodoxe. Mais peut-on reprocher à un spinoziste […]